22 septembre 2013
C'est quand on n'a rien à dire qu'il faut, de plus en plus, ouvrir sa grande gueule
Ce billet doit beaucoup à Bruno Masure, dont le récent petit pamphlet (très drôle au demeurant) est éclairant au possible) Nous tenterons d'évoquer les dérives de ce qu'on ose encore appeler "information" qui qui, quand ce n'est pas un bourrage de crane...